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Rêglement d'arbitrage

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Message  Jean-Paul Bindel Jeu 22 Jan 2009 - 8:45

REGLEMENT D’ARBITRAGE

DU

TOREIKAN-BUDO


Mise à jour Janvier 2009



TITRE 1 : Installations et matériel

TITRE 2 : Combattants et coaches

TITRE 3 : Officiels

TITRE 4 : Règlement des combats



TITRE 1

INSTALLATION ET MATERIEL


Article 1 : SURFACE DE COMPETITION

La surface de compétition sera établie aux dimensions de 10m sur 10m. Elle sera composée de tatamis ou matériau similaire compatible avec la pratique du BUDO.
Cette surface sera libre de tout obstacle.

La hauteur du plafond doit être au moins de 4 mètres. La surface de compétition doit être convenablement éclairée. Les lampes ou projecteurs ne doivent pas gêner la vision des combattants ou des officiels.


Article 2 : ZONE de COMBAT, d’ALERTE, de SECURITE

La zone de combat mesure 6m sur 6m. Elle sera matérialisée par des tatamis de couleur verte ou bleue.

La zone d’alerte entoure la zone de combat. Elle mesure un mètre de largeur. Elle est matérialisée par des tatamis de couleur rouge.

La zone de sécurité entoure la zone d’alerte. Elle mesure un mètre de largeur. Elle est de même couleur que la zone de combat.


Article 3 : TABLE DE MARQUE

La table de marque sera au minimum à deux mètres de la surface de compétition afin d’éviter les risques de percussion par un combattant.


Article 4 : EQUIPEMENT DES OFFICIELS

L’équipement sera fourni par l’organisme organisateur de la manifestation : club, comité régional ou E.F.B.
Il se compose par table :
1. de deux chronomètres (un pour le temps du combat, un pour les immobilisations et les temps de non combat)
2. des tableaux
3. des feuilles de marques pour les juges
4. d’un gong ou autre signal audible (sifflet) et visible par les combattants et officiels


ARTICLE 5 : LES ARMES

Chaque combattant (ou son club) fournit ses propres armes en mousse qui doivent faire partie de celles homologuées par l’Ecole Française de Budo.

Il s’agit du Ken (utilisé dans la grande majorité des combats), du wakizashi, du tanto, de la naginata, du nunchaku, du tonfa, du tambo, du jo et du bo.



TITRE 2

COMBATTANTS ET COACHES



ARTICLE 6 : LA TENUE DES COMBATTANTS

Les combattant portent la tenue de Budo :

• Veste bleue marine avec des manches arrivant à hauteur des coudes. L’écusson de l’Ecole est porté sur la poitrine et l’écusson du club sur la manche gauche.
• Une ceinture correspondant au grade du combattant.
• Pantalon blanc avec possibilité de bande noire ou bleu marine sur le coté.
Le pantalon doit arriver à la cheville.
• Une ceinture blanche (shiro) ou rouge (aka) permettant de différencier les combattants.

Le budogi sera propre et non déchiré. Une paire de zooris sera utilisé pour les déplacement hors du tatami.

Les combattants aurons les ongles (des mains et des pieds) coupés courts et propres. Ils ne porteront aucun objet qui puisse blesser ou mettre en danger le partenaire (bague, collier, barrette, etc ..). Les cheveux longs seront tenus à l’aide d’un élastique.


ARTICLE 7 : LES PROTECTIONS

Les protections obligatoires pour le combat de style kenpo :
• Gants en mousse préformée, à velcro d’un poids de 10 onces
• Chaussons de protection couvrant parfaitement les pieds, y compris le talon et les orteils.
• Protège-tibias sans armature rigide.
• Protège-dents.
• Coquille.
• Protège-seins pour les femmes
• Casque de type boxe pour tous les combattants (hors la série nationale ou le port du casque est facultatif.)

Les protections obligatoires pour le combat de style ju-jitsu :
• Coquille

Les protections obligatoires pour le combat de style ko-budo :
• Coquille
• Protège seins pour les femmes.
• Casque intégral

L’arbitre central devra s’assurer du bon état de ces protections (il peut déléguer cette fonction à un adjoint). En cas de non conformité il invitera le combattant à changer celles-ci dans les plus brefs délais pour des protections conformes.



ARTICLE 8 : LE COACH

Le coach est le « conseiller » du combattant. Il s’agit souvent du professeur de celui-ci ou d’un assistant.
Il est le seul représentant du club à pouvoir s’adresser aux officiels pour obtenir des informations sur le déroulement des combats.
Il est vêtu d’une tenue de sport (survêtement) pour de distinguer des officiels.
Son comportement doit toujours être exemplaire sous faute de sanction disciplinaire.

Le coach ne peut conseiller son élève que durant le temps de repos entre les reprises. Il ne peut en aucun cas hurler des conseils durant le combat.
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Message  Jean-Paul Bindel Jeu 22 Jan 2009 - 8:51

TITRE 3

LES OFFICIELS


ARTICLE 9 : LES OFFICIELS

Les officiels sont :
• le superviseur de la manifestation (arbitre le plus titré chargé de veiller à au bon déroulement de la manifestation)
• les arbitres : de table et centraux
• les juges
• les chronométreurs
• les marqueurs

Les officiels sont vêtus d’une tenue comprenant :
• Chemise (ou chemisette) blanche, un T.shirt est acceptable pour les stagiaires.
• Pantalon de couleur sombre
• Chaussettes ou chaussons spécifiques de couleur sombre

La tenue des arbitres ne doit comporter aucune publicité commerciale ou marque de club.


ARTICLE 10 : LE SUPERVISEUR

Egalement dénommé « délégué de réunion » il est le représentant de notre école et doit faire respecter l’éthique de celle-ci.

Il doit tout savoir, tout contrôler, tout résoudre et tout faire appliquer.

Une réunion de budo se décopose en trois phases tout aussi importantes: AVANT – PENDANT – APRES

Chacune de ces périodes nécessite un travail particulier de sa part.

AVANT
• Le superviseur doit être le premier officiel à arriver sur les lieux de la manifestation.
• Il doit être en possessions des autorisations fédérales ou administratives nécessaires ainsi que de tous les documents utiles.
• Il doit vérifier que toutes les dispositions règlementaires ont été prises par l’organisateur
• Il doit s’assurer que toutes les personnes ayant un rôle à remplir pendant la manifestations sont habilitées et règulièrement licenciées en ce qui concerne les combattants, les coaches et les officiels.
• Il s’assure de la présence du service médical.
• Il contrôle ou fait controler les licences et passeports, la validité des certificats médicaux.
• Il effectue ou fait effectuer sous son contrôle les opérations de pesée.
• Il désigne les juges et arbitres par tapis.


PENDANT
• Il assiste à tous les combats et veille au bon déroulement de la réunion. Il prend toutes dispositions ou mesure imposée par les circonstatnces. C’est à dire : apaise quand il faut, raisonne le plus souvent, explique ou rappelle tel article du règlement, fait évacuer les personnes autour du tapis, etc…


APRES


ARTICLE 10 : L’ARBITRE DE TABLE

L’arbitre de table est l’arbitre le plus titré de son aire de combat.
Il est placé à la table entre le chronométreur et le marqueur.
Il veille à la bonne tenue des tableaux et la régularité du chronométrage.
Il tient une feuille de combat comme les juges de coin.
Il conseille des officiels de sa table en cas de problèmes.


ARTICLE 11 : L’ARBITRE CENTRAL

Il se tient sur l’aire de combat et ne doit pas quitter celle-ci durant les reprises sauf cas de force majeure.

Il a la responsabilité de la conduite du combat et sa préoccupation première doit toujours être la sécurité des combattants. Pour se faire avant les combats il vérifie l’état des tatamis et la tenue des combattants.

Il peut consulter quand il le désire les officiels qui l’assistent.

A la fin de chaque combat il déclare vainqueur celui qui lui est désigné par l’arbitre de table après avoir fait le total des notes. En cas de doute l’arbitre central peut demander à vérifier les dites notes avant de désigner le vainqueur.

Il déclare le forfait d’un des combattants si nécessaire ou l’arrêt sur blessure après consultation du service médical.


ARTICLE 12 : LES JUGES DE COIN

Les deux juges de coin, ainsi que le juge de table, notent la prestation des combattants, en tenant compte des pénalités délivrées par l’arbitre.
A la fin du combat ils remettent leurs feuilles à la table ou le total des notes est effectué.

Ils peuvent signaler au moyen d’un signal (sonore ou visuel) à l’arbitre tout fait méritant attention que celui-ci n’aurait pas remarqué (faute intentionnelle ou non, perte d’une protection, etc..)


ARTICLE 13 : LE MARQUEUR

Le marqueur tient le tableau des combats qui lui a été remis par le superviseur.
Il prépare les feuilles de combat qu’il remet aux juges.
A la fin du combat il totalise les notes des trois juges et désigne le vainqueur à l’arbitre central qui notifie officiellement la décision aux combattants et au public.
Il note ensuite le résultat sur la feuille de combat et le tableau.

ARTICLE 14 : LE CHRONOMETREUR

Le chronométreur est l’officiel qui contrôle le nombre, la durée et les intervalles entre les reprises d’un combat.

Sa fonction exige attention, méthode et honneteté car les durées de temps prises par ses soins de doivent pas être discutées par quiconque.

Il dispose de deux chronomètre, un pour la durée du combat et un pour les temps intermédiaires (immobilisation ou temps de non-combat).

Il démarre le comptage à l’annonce HAJIME et l’arrête à SOREMADE. Entre temps il n’arrêtera celui-ci qu’à l’annonce JIKAN (effectuée avec le geste T effectué avec les mains)
En cas de JIKAN il relancera le chrono à l’annonce HAJIME.
Il démarrera le chrono des immobilisations à l’annonce OSAEKOMI. Il signalera à l’arbitre les immobilisations de 20 secondes ainsi que le manque d’action offensive d’une même durée.



TITRE 4

SERVICE MEDICAL


Les organisateurs d’une compétition doivent s’assurer de la présence dans l’enceinte de la rencontre de :

• Un médecin (ou tout autre personne habilitée)
• Un poste de secourisme (protection civile, croix rouge, ou autre) pouvant procéder à l’évacuation d’un blessé.

Le service médical devra pouvoir intervenir à tout moment à la demande de l’arbitre central.

Le service médical devra donner ses soins, en cas de besoin, aux compétiteurs, officiels ou spectateurs. Il ne devra quitter la salle qu’après le départ de ces mêmes personnes.
A la fin de la manifestation l’équipe médicale fournira au responsable la liste des personnes ayant bénéficié de soins et la nature de ceux-ci.


Dernière édition par Jean-Paul Bindel le Jeu 22 Jan 2009 - 9:10, édité 1 fois
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Message  Jean-Paul Bindel Jeu 22 Jan 2009 - 9:00

TITRE 5

REGLEMENT DES COMBATS


ARTICLE 15 : PRINCIPES

Les combats se déroulent en trois ou cinq reprises suivant les catégories de combattants.
La durée des reprises est de deux minutes pour les cadets, juniors, seniors et vétérans. Elle est de une minute trente pour les poussins, benjamins et minimes et de une minute pour les pailles et pupilles.

Le temps de repos entre chaque reprise est de une minute et trente secondes. Le chronomètre pour le repos est déclenché au commandement REI à la fin de la reprise.


ARTICLE 16 : LES EPREUVES

Les combattants sont classés en deux séries :

Série promotion ouvert à tous les combattants. Les combats s’effectuent en trois reprises :
• Style kenpo : sont autorisées les technique de percussion avec les zones protégées par des protections (gants, chaussons et protège-tibias) ainsi que les technique de projections.
• Style ju-jitsu : sont autorisées les technique de projection, d’immobilisation (sur le dos ou le ventre d’une durée de 20 secondes) et de soumission (luxation des membres supérieurs et inférieurs, strangulations).
• Style ken-jitsu : sont autorisées les frappes avec le ken tenu à deux mains ou d’une main (dix secondes max.).

Les combats se font à la touche légère et contrôlée. (Light contact)


Série nationale ouvert aux combattants classés de niveau national et volontaires.

Les combats s’effectuent en cinq reprises :
• Kenpo : sont autorisés en plus des techniques déjà citées les coups de genoux au corps et dans les jambes.
• Ju-jitsu : sont autorisées en plus des techniques déjà citées les techniques de pressions sur les points de pression non vitaux.
• Ken-jitsu
• Nunchaku
• Ko-budo : La cinquième reprise s’effectue avec une au deux armes au choix du combattant qui a également la possibilité de porter des percussions, projections, luxations et strangulations.

Les combats se font à la touche moyenne contrôlée sans recherche de K.O. (Médium contact)


ARTICLE 17 : LA NOTATION

Les combattants sont notés sur trois critères : Efficacité, combativité et technique.

A chaque reprise le meilleur combattant se voit attribuer une note de 10 (sauf en cas de pénalité) et son adversaire une note de 7 à 10.
A la fin des trois ou des cinq reprises on effectue le total des notes des trois juges et le vainqueur est celui qui a la meilleure note.
En cas d’égalité (HIKI-WAKE) et si nécessité de désigner un vainqueur une reprise supplémentaire d’une minute sera effectuée au tanto.
En cas d’égalité à la fin de cette prolongation une nouvelle prolongation sera effectuée et la décision se fera sur la première touche.


ARTICLE 18 : LES PENALITES

La première faute, non intentionnelle, est sanctionnée par SHIDO (avertissement verbal). Cette remarque n’entraîne pas de point négatif mais les juges devront en tenir compte dans leur note notamment si les combattants sont très proches au niveau de la notation.
Les fautes les plus fréquentes sont la sortie involontaire de l’aire d’alerte, et la non combativité (absence d’action technique réelle durant vingt secondes )

La deuxième faute est sanctionnée par CHUI qui entraîne l’inscription d’un point négatif sur la feuille de note.
La troisième faute est sanctionnée par KEIKOKU qui entraîne l’inscription d’un deuxième point négatif sur la feuille de note.

La quatrième faute entraîne la disqualification (HANSOKU-MAKE)

Dans le cas de faute intentionnelle grave pouvant porter un préjudice corporel ou moral à un combattant (ou à un juge) l’arbitre central décidera avec les officiels de la sanction à appliquer.
En cas de contestation de cette sanction il pourra être fait appel devant le superviseur.


ARTICLE 19 : DEROULEMENT DES COMBATS

En début de combat l’arbitre central vérifiera que les officiels sont prêts.

Il utilisera ensuite les différents termes suivants

REI Saluez Les combattants se saluent et saluent l’arbitre

KAMAETE En garde Les combattants se mettent en garde

HAJIME Combattez Début du combat

YAME Arrêtez vous Les combattants s’arrêtent leur action
(et ne bougent plus)

Pour le combat de Kenpo, YAME sera utilisé
• en cas de risque pour un des combattants
• en cas de problème technique (perte d’une protection par exemple..).
• après une projection nette

Pour le combat de Ju-Jitsu, YAME sera utilisé
• en cas de risque pour un des combattants
• en cas de problème technique
• en cas de réussite d’une technique d’étranglement ou de clé. Dans ce cas l’arbitre annoncera SHIME ou KANSETSU WAZA afin que les juges qui n’aurait pas vu cette technique puisse la comptabiliser.
• après une immobilisation de 10 secondes. Il fera alors reprendre le combat debout

Pour le combat de Ko-Budo, YAME sera utilisé
• en cas de risque pour un des combattants
• en cas de problèmes technique
• quand l’arbitre pense avoir vu une touche nette. Il n’annonce pas cette touche laissant aux juges le soin de la noter s’ils l’estiment valable (Ceux peuvent également tenir compte de touches que l’arbitre n’aurait pas annoncées). L’arbitre attendra trois secondes environ avant de faire reprendre le combat.


SONOMAMA : Ne bougez plus

JIKAN : Arrêt du chrono

OSAEKOMI : Immobilisation (sur le dos comme sur le ventre)...L’arbitre tend le bras paume ouverte en direction des combattants


TOKETA : Sortie d'immobilisation...L’arbitre secoue horizontalement le bras

SHIME WAZA : Etranglement...Après un yamé l’arbitre signale ainsi aux juges une technique qu’ils peuvent ne
pas avoir remarqué (généralement au sol)

KANSETSU WAZA : Luxation...Idem

SOREMADE : Fin du combat...Les combattants s’arrêtent et reviennent au centre, toujours en garde

NAOREI : Position de salut...Les combattants prennent la position de salut (talons joints, bras le long du
corps)

HENTEI : Décision...L’arbitre demande la décision des juges

AKA GAESHI Vainqueur L’arbitre désigne le vainqueur du bras
SHIRO GAESHI (Rouge ou blanc)


ARTICLE 20 : FORFAIT

En cas de forfait d’un des combattants : le coach devra prévenir la table au moins cinq minutes avant le début du combat.

Si après trois appels (à une minute d’intervalle) un combattant ne s’est pas manifesté pour combattre il sera déclaré forfait.


ARTICLE 21 : REGLES DE CONDUITE

L’Ecole Française de Budo se veut éducative et son action ne saurait en aucun cas se limiter à la compétition qui ne représente qu’une des facettes de son activité.

Celui qui se dit budoka, qu’il soit combattant, coach, officiel ou simple spectateur, se doit donc d’être un exemple et toute atteinte délibérée à l’esprit du Budo sera considérée et sanctionnée comme une faute grave.


ARTICLE 22 : TECHNIQUES ET GESTES PROHIBES

.
Dans la série « Promotion » seules les frappes avec les poings, les pieds et les tibias (recouverts de protections ) sont autorisées et doivent être contrôlées.
Dans la série « Nationale » les coups de genoux au corps et aux jambes sont également autorisés avec contrôle.
Les techniques de soumissions (étranglements et clés articulaires) ne sont autorisées qu’à partir de la catégorie « cadets ».

Les techniques de points de pression douloureux ne sont autorisés que pour les combattants de série nationale. Les étranglements avec les doigts sur le cou sont considéré comme des points de pression.





ANNEXES


LES ARBITRES


Sans arbitre il n’y a pas de compétition, tous les clubs sont donc invités à en fournir lors des divers tournois.

Les arbitres sont classés comme suit :

Arbitre stagiaire : Il a suivi un stage d’arbitrage minimum. Il est âgé de 14 ans minimum et titulaire de la licence de l’année.

Arbitre départemental : Il a suivi deux stages d’arbitrage minimum et participé à l’arbitrage d’au moins 30 combats. Il est titulaire de deux timbres de licence.

Arbitre régional : Il a suivi trois stages d’arbitrage minimum et participé à l’arbitrage d’au moins 50 combats depuis sa nomination comme arbitre départemental. Il est titulaire de trois timbres de licence.

Arbitre national : Il a suivi cinq stages d’arbitrage minimum et participé à l’arbitrage d’au moins 100 combats depuis sa nomination comme arbitre régional. Il est titulaire du 1er degré minimum (Ceinture noire) et de quatre timbres de licence.

Arbitre international : Il maîtrise parfaitement l’arbitrage, participe régulièrement aux stages a arbitrés au moins 200 combats depuis ses débuts. Il est titulaire au minimum du 2ème de et de cinq timbres de licences.

Un arbitre n'ayant pas arbitré durant deux saisons consécutives lors du tournoi national, est rétrogradé dans la catégorie inférieure.
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Message  budok Sam 7 Fév 2009 - 15:51

bonjour est ce que au ken on compte la touche egale 1 point ou 2 voir 3 selon l'endroit de la touche exemple tete 3points etc......
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