LA PEUR ...

Pour faire suite au masochisme et à l'hedonisme, j'ai envie de traiter ce nouveau sujet sur la peur ! Il sera intéressant, pour pouvoir en découvrir toutes ses facettes, de "rebondir" à ce premier article, sans trop s'en éloigner dans un premier temps, puis d'approfondir certains aspect plus délicats.

En effet, qu'on le veuille ou non, elle est partout ! Qui n'a jamais eu peur ? Bon nombre de situations sont sujettes à ce sentiment qui peut revêtir différents "costumes".
Il va être très difficile de tout traiter en une seule fois, car ce sentiment bizarre peut se dévoiler n'importe où, n'importe quand, n'importe comment... De plus, chacun aura le moyen de l'exprimer à sa façon en fonction des circonstances, voire même la cachera et croira que ce sentiment en est un autre !
Nous savons tous que l'être humain a une certaine fierté et peu d'entre nous savent réellement reconnaitre la peur qui s'immisse en nous et à juste titre ne pourront pas dire : "j'ai eu peur !". Ils diront plutôt, peut-être aussi par pudeur, qu'ils ne sont pas en cause mais que c'est de la faute de l'autre ou tenterons "d'inventer" un autre motif pour se déculpabiliser. Après coup, le temps passant (le temps apaise les douleurs ... !) s'ils doivent en reparler, peut être diront-ils qu'ils ont eu peur mais le prendront à la dérision en cherchant à minimiser les faits. Réaction normale ! car on ne peut pas non plus relater un évènement à une autre personne en exprimant la même chose pour ne pas la choquer ce qui risquerait de l'éloigner.

Quelles sont nos peurs les plus courantes : les autres, le téléphone, l'inconnu, l'avenir, les évènements de notre vie (naissance, mariage, accident, décès...)... et tous les jours, nous sommes confrontés à l'un d'eux, soit dans la réalité soit dans la pensée, et nous la faisons évoluer au gré du temps, des évènements et surtout de nous-mêmes.

Nous commenceront par évoluer autour "des autres" de façon à ne pas nous perdre dans toutes nos réflexions et débordements qui ne nous mèneraient à riende concis.

LES AUTRES : qui sont-ils, que veulent-ils, que pensent-ils, que pensent-ils de nous, quel caractère ont-ils, quelles réactions ont-ils .. tant de questions que nous nous posons souvent sans parfois jamais oser les poser. Pourquoi ? La peur ! Peur de quoi ? peur de dire une bêtise, peur de ne pas savoir utiliser les bons mots, peur de ne pas être compris, peur de toucher un sujet fragile, peur de sa réaction, peur de le blesser et peur de ce qui risque de s'en suivre.
Bien sûr tout un chacun ne pense pas à tout celà en même temps, mais sans le vouloir, sans nous en rendre compte, nous censurons certaines de nos paroles et préférons garder le silence pensant que c'est la meilleure solution. Faux ! il n'y a rien de pire que les non-dits !

Prenons un exemple très courant : un léger conflit avec une autre personne. Bien souvent il n'y aura pas de suite car ni l'un ni l'autre ne prendra la peine de revenir sur le sujet, ne sachant peut être pas comment faire pour aborder la situation et par peur de la réaction de l'autre. Beaucoup diront : "mais non ! je m'en fiche !" ou "moi ? peur de quoi ?" ou "pourquoi ça serait moi ?" ... réaction normale, mais en réfléchissant bien, une "petite peur" en est à l'origine. On se rend compte plus tard, que cette attitudes instaure des "distances" et sont parfois à l'origine d'une sensation de "mal-être".
Second exemple : s'exprimer en public. Oh la la ! qui n'a jamais été mal à l'aise dans cette situation et l'on entendra souvent : "j'aime pas !", "non ! j'ai rien à dire !", "j'attends que quelqu'un d'autre pose ma question !", "oh non ! tout le monde va me regarder",... et certains avouent : "j'ai peur".

Il faut maintenant se poser la question suivante : pourquoi a t-on peur, et peur de quoi, et comment peut-on y remédier ?
Il existe de multiples situation, mais nous allons essayer de rester dans un cadre général afin de mieux cerner ces difficultés.
Cette sensation que nous avons d'être mal à l'aise face au regard et au "jugement" des autres ne se construit que dans notre propre imagination. Nous créons nous-même nos peurs qui, bien souvent, ne sont pas justifiées, mais nous en sommes tellement persuadés que nous ne pouvons nous résigner au contraire. Un contrôle de soi est parfois bien difficile pour certains.
Celui qui ne s'aime pas, ne se sentira pas aimé.
Celui qui n'aime pas sa voix, son physique, voir même sa façon de parler ne se sentira pas en confiance et aura toujours peur de recevoir le regard des autres car il l'interprètera à sa façon, mais, ce n'est pas forcément ce que pense l'autre ! et même s'il le pense ? qu'importe ! il faut se dire que chacun de nous est différent, que nous avons nos propres particularités qui plaisent ou qui ne plaisent pas mais qui n'amène pas forcément à une critique ou un rejet.
Le plus important est de se sentir bien, d'accepter nos différences, de connaitre nos points faibles et nos points forts et l'on portera alors notre reflet dans le regard de l'autre.
S'auto-juger avec une large ouverture d'esprit, accepter certains commentaire qui peuvent nous être faits et essayer de comprendre pourquoi ? de façon à pouvoir vaincre certaines de nos peurs.

Voici une petite histoire qui montre ce que l'on peut faire : une personne comme tout le monde se voit un jour atteinte d'un malheur et d'une grande tristesse. Les premiers temps, les autres se sont inquiétés de ce changement et ont voulu comprendre le pourquoi de ce changement. Lorsqu'ils ont appris les raisons de son malheur, les "autres" ont eu peur, et se sont éloignés progressivement, ne sachant pas quoi lui dire ou quoi faire. Cette personne s'est sentie progressivement délaissée, car en fait dans son malheur, elle cherchait de l'aide et aurait voulu au contraire que les "autres" se rapprochent d'elle. En voyant leur comportement, elle est devenue de plus en plus triste et plus envie de parler ni de sourire, sourire que plus personne ne lui donnait, car elle pensait ne pas le mériter et avait peur d'elle-même. Mais elle ne s'est pas rendu compte que c'était elle qui induisait ce comportement d'autrui. Et le temps passait jusqu'au jour où une de ses connaissance a osé lui dire la vérité (elle avouera après avoir eu très peur de cette démarche) et le pourquoi de l'attitude des autres. Ils étaient démunis face à une situation qu'ils ne comprenaient pas, avaient peur de dire ou faire une bêtise en l'abordant ! et pourquoi ? pourtant tout le monde était mal à l'aise dans cette situation et voulaient en sortir, mais quelque chose bloquait ! mais quoi ? ...
Il a juste fallu un seule chose pour que tout se débloque : un sourire... car cette personne disait toujours bonjour, merci, aurevoir aux autres et inversement, mais toujours avec ce visage fermé, sans sourire.
Le sourire qu'elle a rajouté depuis lors, fut le facteur du bohneur de tout le monde, l'oubli de ces peurs qui s'étaient installées, car une nouvelle porte s'était enfin ouverte, la porte de l'émotion, le témoin du changement, la voie du coeur commençait alors à parler et la guérison de son malheur fut plus rapide.

Notre attitude, nos peurs, influencent donc celle des autres ; nos peurs nous confortent parfois dans ce que nous sommes mais il faut, quoi qu'il arrive, même dans le malheur, rechercher le chemin du bonheur intérieur, ce qui nous mettra en confiance, allègera nos peurs et ouvrira de nouveaux horizons...

J'attends vos réaction sur "les autres" puis nous ferons un petit bilan avant de passer au télépone ...
Douce nuit à tous...

Salut Gigie, J'ai lu ton texte avec intérêt. Puis je me suis amusé a le relire en échangeant le mot "peur" par le mot "crainte". A aucun moment dans ma relecture je n'ai été choqué par cette translation. D'où ma question : comme beaucoup de personnes, ne confondrais tu pas la peur avec la crainte ou l'appréhension ?
Qui dans sa vie a vraiment connu la peur. La peur, cet état qui vous change de tout au tout, qui vous glace, vous fait perdre vos moyens ou qui vous en donne d'autres insoupçonnés par une brusque délivrance d'adrélanine. Cette peur, la vraie, celle qui peut transformer l'Homme en héros aussi bien qu'en "salop"
Ce n'est ni un titre de gloire, ni une référence, mai oui, moi j'ai connu la peur.
à suivre :
le célèbre proverbe : La peur n'évite pas le danger

Tout à fait d'accord, la crainte étant un synonyme de la peur.

On peut retrouver des mots synonymes exprimant une notion plus ou moins proche :

appréhension, crainte, inquiétude, anxiété, angoisse, effroi, frayeur, terreur, épouvante, peur panique, frousse, trouille, trac, pétoche, phobie, paranoïa, chair de poule
On peut trouver ci-dessous des définitions plus complète, tirées du dictionnaire wikipédia :

"Tout personnage, animal ou créature fantasmatique imaginaire qui suscite un sentiment de crainte dans certains moments ou certains lieux (la nuit, le brouillard, les forêts, les puits ou bords d'étangs, etc.) est une peur."

Différentes dimensions de la peur


On peut :

• avoir peur pour soi, pour quelqu'un qu'on aime ou pour un objet auquel on est attaché affectivement
  
• avoir peur d'un danger qu'on peut percevoir, d'un danger absent mais qu'on connaît, ou d'un danger hypothétique ou imaginé
  
• avoir peur de quelque chose du passé, de quelque chose du présent, ou de quelque chose du futur
  
• avoir peur de voir quelque chose, d'entendre quelque chose, d'être touché par quelque chose, mais aussi la forme passive de ces verbes. (etre vu par quelque chose, etc.)
  
• avoir peur de souffrir moralement (exemple: voir cas 1) et/ou physiquement (exemple: avoir peur d'avoir mal ou de mourir)
  
• avoir peur des espaces ouverts (agoraphobie)
  
• avoir peur des espaces confinés (claustrophobie)
  
• avoir peur du noir, ou de la séparation
  
• avoir peur de certaines situations (phobies)
  
• avoir peur d'avoir peur (Phobophobie)
  

On voit que la peur a de nombreuses facettes, enjeux et ressorts variés que savent exploiter les auteurs, les cinéastes, les politiques ou les commerciaux et publicitaires, consciemment ou non.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Peur

Bien évidemment, on peut ressentir la peur à différents niveaux. Chacun de nous, dans une même situation ne ressentira et n'exprimera pas ses émotions de la même façon. C'est pour celà qu'il est parfois très difficile de de croire que l'on a vraiment peur. Ce mot faisant "peur", on le remplacera volontiers par de la crainte ou tout autre synonyme qui nous permettra de mieux l'assumer. La sensibilité et les moyens d'expression de chacun créent la différence.
Nos peurs ne sont pas toujours fondées, et notre imaginaire, souvent très florissant, nous amène à échaffauder différents scénarios. Notre machine, très complexe, aura très souvent tendance à croire si fort à un scénario en particulier, qu'inconsciemment ou consciemment, nous ferons ce qu'il faut pour que ce soit celui-ci qui se réalise et pas un autre. Notre capacité d'évolution ne dépendra uniquement que d'un facteur personnel qui regroupera l'optimisme et la faculté de positiver, comme je le disais dans l'hedonisme, y croire...

"le seul combat perdu d'avance est celui auquel on renonce ..."

Peu de réflexions ou d'avis ... que peut-on en conclure ? Pas d'avis, peur de s'exprimer et de se révéler ou jamais peur ?

De la peur nait de l'angoisse et génère des situations de stress qui prennent parfois des allures "d'habitudes", et le temps passant, soit elles disparaissent spontanément soit elles persistent et il est alors de plus en plus difficile de se rappeler quel a été le déclencheur évênementiel.

De celles-ci naissent des attitude parfois bien révélatrices pour ceux qui savent les discerner. Nous passons à côté tous les jours sans les voir, soit parce que nous n'y faisons pas attention tout simplement, soit parce que nous pouvons être préoccupé par autre chose ou parce que nous ne voulons tout simplement pas y porter un regard car celà risquerait de nous amener à une attitude ou un dialogue qui pourrait nous mettre mal à l'aise. Mais l'être humain étant très compliqué dans sa façon de penser et de réagir qu'il peut, en une phrase nous faire comprendre que l'on se trompe (alors que c'est faux !) et que ce n'est pas notre problème !
Que dire, que faire face à une telle attitude... c'est parfois l'impasse.

Qui veut poursuivre ?
Un vécu, un exemple, une solution...

Bonjour ,

La peur !!!! Quel mot ! Il englobe tellement de choses !
Mais quand la peur est de la haine , une haine féroce ! Incontrôlable ???
Ce que je vous raconte est du vécu !
Je gérais un magasin de sport , spécialisé dans les articles de sport de combat , en 1981 !
Un matin de juillet !! J’ ais vu entrer dans la boutique deux personnages cagoulés , l’un armé d’un couteau , l’autre d’une arme ( pistolet ou révolver ??? ) peu importe ! Cette dernière ne m’a fait aucun effet mais le couteau m’ a impressionné je dirais , sans me faire peur , puisque je pensais que c’était une blague , de mauvais goût , mais une blague !!
Je me suis placée devant ma caisse , pratiquement vide , je vous l’ais dit nous étions en juillet , mois peu propices aux affaires dans ce secteur , mal m’en a pris !! J’ais reçu une avalanche de coups , une pomme de terre dans la bouche un torchon ( sale ) qui servait de bâillon , bien entendu pieds et poings liés !
A ce moment là ce n’est pas la peur qui l’emportait c’était la haine , une haine féroce envers ces deux personnages , qui dévastait tout le magasin , alors que je voyais qu’il prenaient les meilleurs produits , donc des connaisseurs en la matière !!
Je vous assure que si j’avais pu les tuer je l’aurais fait !! Quand certains me disent mais non rien ne vaut une vie ! Oui avec le recul rien ne vaut une vie mais sur le moment : allez expliquer à votre cerveau que vous ne devez pas penser cela que c’est mal !!!!!!
J’ais du subir par la suite les : moi j’aurais fais ça ou ça et tu aurais du faire ….
Nous n’étions pas encore à l’époque des prises en charge des « victimes « donc la peur n’ait venue que plus tard !
Par contre elle s’est transformée , et je n’ais plus cette confiance que nous avons tous tant que rien ne c’est produit ! Je fais beaucoup plus attention à ce qui m’entoure ,à qui m’entoure !
Je peux me tromper mais je pense que chacun exprime « sa « peur , qu’elle est différente pour chacun de nous , et aussi suivant le motif déclencheur de cette peur !
Je suis d’accord avec toi quand tu dis que nous avons tous eu peur à un moment de notre vie , et même plusieurs fois dans notre vie !
C’est un vaste sujet !!!
Amicalement Patoune Michèle

bonjour ,

oh !! mais nous ne sommes entourés que d'hyper courageux !! jamais peur ???

bonne journée

Merci Michèle pour ton témoignage, et comme tu cites ce que certains t'ont dit "tu aurais du faire ci ou ça ...", mais qu'auraient-ils fait réellement à ta place ? c'est si facile de dire mais tellement différent d'agir car sous l'emprise de la peur, la haine... mais quelque part, heureusement que tu n'as pas pu agir à ce moment là car les suites auraient peut être été différentes et je pense qu'il vaut mieux se protéger, mais sur le moment, il est tellement difficile de gérer une situation comme celle-ci.
Ce type de situation extrême nous amène par la suite à gérer autrement nos actions ou notre façon d'être et ce sentiment persiste très longtemps. Il est vrai que les prise en charge par des équipes spécialisées permettent de "digérer" ce type d'évênement, et même si l'attention toute particulière portée à ce qui t'entoure ne doit pas systématiquement être reliée à ce souvenir (bien plus compliqué à dire qu'à faire). Il est difficile de rétablir une confiance quand celle-ci a été atteinte. Le chemin à parcourir est complexe et il faut prendre le bon, sans se tromper de route sinon tout est à refaire.
J'espère pour toi que tu a réussi maintenant à passer au-delà de tout celà et que tu as pris le bon chemin.

Voici donc une autre facette de "la peur des autres", bien différent de ce que l'on connait habituellement et qui met en jeu notre potentiel mémoire et confiance. Il est important d'arriver à "ranger" ce type de souvenir pour ne pas en subir l'emprise au quotidien, mais notre vécu et là et tant bien que mal il faut parfois faire avec et il ne faut jamais perdre du vue qu'il faut tojours regarder devant nous afin d'éviter de s'engager vers un sens interdit ou une voie sans issue ...
Bonne journée
Sylvie

En passant devant ma bibliothèque, j'ai pris un livre que j'ai ouvert au hasard et voici ce que j'ai lu :
"Ainsi, dans ce monde actuel, la plupart d'entre nous vivons dans un état non éveillé, partiellement engourdis, inconscients d'être prisonniers du passé, et effrayés de nous regarder et de voir où nous sommes ici et maintenant.
Etant donné que c'est l'état dominant de l'énergie sociale, il n'est pas facile d'éviter de s'y laisser prendre. La plupart des gens se sont résignés à cet état, et si vous leur demandez comment ils se sentent et si tout va bien, ils vous répondent : "oui ça va". Leur vie tourne pratiquement autour de manger, dormir, s'accoupler, rechercher la sécurité et le pouvoir. S'ils regardaient profondemment en eux et étaient honnêtes avec eux-mêmes, ils verraient qu'ils sont plutôt malheureux et se sentent vides à l'intérieur. La peur intense de regarder cette douleur et ce vide empêche de prendre conscience qu'ils ont graduellement étouffé leur nature divine....
... Une fois que nous seront tellement devenus reponsables de nous-mêmes, de notre santé, de notre origine spirituelle et de notre mission de vie, nous pourront commencer à émerger de cet état d'engourdissement. Nous prendrons alors conscience de la peur et des mécanismes que nous avons cultivé pour nous empêcher d'entrer en contact avec notre moi véritable. C'est seulement si nous avons le courage de creuser sous la surface de notre conscience ordinaire que nous seront capables d'ouvrir et de marcher sur la voie de la liberté et de l'indépendance spirituelle..."
A méditer ...

Désolée de ne pas te contredire , tu as tout a fait raison , quand tu « constate « que pour certaines personnes tout tourne autour du quotidien !!
Il arrive même que cette sensation ce ressente au travers de certains ou certaines ;
Mais peur de quoi ? Prisonnier du passé ? Pas forcément , prisonnier d’un autre peur , celle de ne pas parvenir au but fixé , de ne pas être à la hauteur , mais hauteur pour qui , pour quoi ?
Toujours cet esprit de compétition , qui est je le reconnais , bénéfique , mais qui peut être très perturbateur à haute dose dirons nous , si on ne vit que pour lui !
Il semblerait que certains ou certaines ce mettent en état d’attente , de passivité , tout en voulant être le ou la meilleure , donc tout va bien ! Oui , quand ils parviennent à leur but , mais leur moi intérieur n’est pas pour autant comblé et comme tu le disais il ne faudrait pas creuser , on pourrait trouver la faille !
En fait ne trouver qu’un humain malheureux !
Encore une peur ! Mais dont on n’a pas conscience ;
Concernant « mon témoignage « le temps a fait son travail et adouci les souvenirs , mais il faut aussi mettre en route le pardon et là c’est encore une autre discussion !
Donc oui très sincèrement , je suis passée à l’étape suivante .

( j’aimes beaucoup tés écrits , désolée de ne pas écrire aussi bien ! )

amicalement michèle

Merci à toi et en plus avec la photo, c'est super de savoir à qui l'on parle
Qui d'autre se lance ? allons, n'ayez pas peur, un peu de courage
Amicalement
Sylvie ou Gigie !