Raid en Roussillon

Un raid de militaires, policiers et réservistes, français et espagnols a eu lieu le 21 juin dans les environs de Perpignan. Les clubs TOREIKAN CATALAN et ART CONTACT étaient représentés.




Une équipe espagnole.


Une équipe catalane.


La hyène, pas encore tachetée...Elle le sera un peu plus tard après son passage dans une cuve à mazout.



On vous en reparle dès qu'on a un peu plus de détails.

C'est sur l'invitation de Richard de "Art contact" qu' avec Ptit'steph nous nous sommes rendu aux aurores à Trias, petit village perdu dans les montagnes pour participer au raid annuel des sous officiers de réserves de l'armée Française, pour y tenir un atelier dit de combat corps à corps, avec petit scénario.
Chez les participants, on a vue un peu de tout: des paras et des marsouins de la coloniale, des gars du génie, des marins, et même des Légionnaires avec qui j'ai pu échanger longuement dans la fin d'après midi et pas que des souvenirs. Cette année, l' ADSOR 66 (association des sous officiers de réserves) avait invitée quelques amis venus de l'autre coté des Pyrénée, ainsi sont passés dans notre atelier une équipe de la Légion Étrangère Espagnol, Le chef de la brigade des Mossos d' Esquadra de Gérone avec son équipe et quelques policiers de la Guarda civil.
Tout ces braves gens, du programme ne connaissaient que les grandes lignes sans savoir ce qui les attendait si ce n'est une course d'orientation de 20 kilomètres, ce qui à donné quelques surprises lors de l'arrivée chez les petit Gars de l'EFB.
Le scénario:
accueil des candidats par une bande de terroristes armées jusqu'aux dents à bord d'une mercedes de gitan

La Mercedes prés du très bel aqueduc romain de ........

Tout le monde à terre jambes et bras et doigts écartés le nez dans la poussière le tout accompagné du langage de circonstance que Sterling maîtrise parfaitement. On s'en ai donné à coeur joie. il n'y avait pas besoin de traducteur pour les mossos et autres de la guarda civil qui ont tout compris. Une fois à terre, le chef de groupe se retrouve menotté et mis à l'écart. Pour le récupérer, ses collègues ont du négociés ( un moment, vu que les organisateurs nous ont oublié coté ravitaillement, j'ai faillis leurs piquer leurs une partie de leurs rations, mais l'intendance est arrivée à temps). Vu que l'on était là tout de même pour combattre, le reste des négociations se faisait sur le principe de points attribués lors d'épreuves; de travail aux paos, de combat pied point projection à main nu (on a vite arrêté les projections sur les cailloux dans les vignes) de plus les organisateurs aprés un deuxième saignement de nez, nous ont demandé de mettre un frein, avant de repartir en laissant une équipe de la Croix Rouge sur place. La dernière épreuve se faisait au couteaux et là je remercie Alain et Franck Tourbier pour leurs derniers stages d'armes courtes qui m'ont permis de me sortir de situations qui auraient sinon, été fâcheuses. Le but pour obtenir des points n'était pas de gagné les combats mais de mesurer l'engagement des candidats ainsi que leur bon esprit. Les épreuves ont très vite tournées en cours de Budo, ici correction du poing ici du couteau, assorti de quelques exercices venus tout droit des stages de Franck. Si le début de la journée de la journée à été dés plus calme, de 10h30 à 14h 15, l'enchaînement des équipes n'a pas cessé jusqu'à se retrouver avec deux équipes ensemble. Pas de problèmes.


Vu que nous étions que quatre: Ptit'seph du Toreikan Catalan, Adrien le fils de Richard Navarro, Charles de " Arts Contact" un beau bébé de plus d'un 1m80 malgré son jeune âge et moi même, afin de nous laisser soufflé un peu, je n'ai rien trouvé de mieux que de les faire combattre entre eux, ce qui à donné de bon résultats. Pour une première, il semblerait que à nous seuls nous ne nous en soyons pas trop mal sortis,(Richard, pris par ses obligations nous rejoindra aprés la bataille. Nous lui devons entre autres toutes les photos qui ont été prisent aprés coup vu que j'en ai pas eu le temps sur le moment).

Vers 14h30 Ptit'steph nous quitte pour un autre stage avec le reste du Toreikan Catalan à Villeneuve de la Raho, je les rejoindrais bien plus tard pour le repas de fin d'année.
Avec Richard qui nous a maintenant rejoint, aprés quelques photos et remise en état du cite, je rentre au camps de base pour faire mon rapport et remettre les notes des candidats.
Aprés quelques rafraichissements :

J'ai glissé chef !
. Donc, aprés quelques raffraichissement, nous avons pris le temps de discuter avec les uns et les autres avant de les laisser à leurs cérémonies et grillades, où bien qu'invités, nous n'avons participé (repas du club pour moi et obligations familliales pour Richard) .
C'est en franche camaraderie que nous nous sommes quittés en nous donnant rendez-vous pour l'année prochaine.
FIN

bjr
sauf erreur la photo signalé comme équipe espagnole comporte des soldats français non ? à gauche surtout
je crois reconnaitre notre calot de tradition des tdm et les épaulettes , le beret rouge est aussi de la colo : rpima !me semble t il je vois pas trop l'insigne le beret bleu aussi je crois discerner une ancre rouge sur le bras : rima

Les photos ne sont pas de moi! La légende semble en effet un peu généraliste.
N'ayant plus souvenir de ce post, je t'ai répondu ailleurs.
Mais pour faire ici, cette photo a été prise peut avant la "prise d'armes" ou plutôt cérémonie aux drapeaux.
Tout le monde est un peu mélangé.
Le calot et l'ancre rouge des TDM (Troupe de Marine), les Marsouins étaient là, comme leurs fréres au calot rouge (amarante): les Marsouins parachutiste. Pas sur la tof mais aussi des légionnaires de différentes armes et leurs confrères historique de la Légion Espagnole.Pour les Etrangers ( France), comme ils aimaient à le spécifier : Légionnaire "parachutable" car Légionnaire avant tout, parachutiste puisqu'il le faut bien.

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