Présentation
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Présentation
Le Wing Chun
L'origine du Wing Chun Kung Fu se situe pendant la période de répression de la dynastie Ching, il y a plus de 250 ans. A cette période, 90% de la population qui était des hans, était dirigée par une minorité, les mandchous. Ils instaurèrent des lois très injustes pour les hans, par exemple, dès le plus jeune âge, une fille han devait avoir les pieds bandés pour être totalement dépendante de sa famille ou de son mari lorsqu'elle serait adulte. Ils n'avaient pas le droit d'accéder à des postes gouvernementaux. Les mandchous créèrent de lours impôts destinés aux hans. ils n'avaient pas le droit de s'entraîner au Kung Fu, cependant le gouvernement mandchous adopta la culture han. Par ce fait, ils respectaient le Temple Shaolin comme sanctuaire bouddhiste.
Lorsque toutes les armes furent hors la loi, les hans commencèrent à s'entraîner secrètement dans le Temple Shaolin. Le Temple devint par conséquent un endroit secret où les gens s'entraînaient aux styles classiques de kung fu qui demandaient une vingtaine d'années avant de les maîtriser.
Pour développer une nouvelle forme, qui prendrait moins de temps à maîtriser, cinq grands maîtres se réunirent pour faire le point de leur art respectif. En choisissant les meilleures techniques de ces styles, ils développèrent un système qui pouvait être maîtrisé en 5 ans. Cependant, avant de pouvoir mettre en pratique ce nouveau système, le Temple fut pillé et incendié par les Mandchous.
Ng Mui, une none, fut la seule rescapée des 5 grands maîtres. Elle transmit son savoir à une jeune orpheline, Wing Chun. Ce nom signifie: "espoir pour le futur". Par la suite, Wing Chun transmit son art à son mari. Au fil des ans, ce style fut connu sous le nom de Wing Chun et fut transmis à des élèves soigneusement sélectionnés.
Yip Man
Le grand personnage du Wing Chun moderne
Si le Wing Chun est un art martial mondialement connu, on le doit en grande partie à lui. Célèbre pour avoir enseigné à Bruce Lee, avant que celui-ci ne devienne une star internationale, Yip Man est la grande référence du Wing Chun moderne.
Si certains détracteurs ont mis en cause sa légitimité, la plupart des pratiquants de nos jours aiment à se réclamer de son lignage. Car l'enseignement de Yip Man apparaît comme un gage de qualité, et son rôle dans l'histoire, défendre le Wing Chun et l'enseigner à tous, est perçu comme une noble quête qui a servi la cause de la culture chinoise.
Souvent présenté comme un héros national, voire un sage immaculé, Yip Man a néanmoins vécu une vie contrastée, entre période de prospérité et difficultés liées à son époque.
Disciple du maître Chan Wah-Shun3e enfant sur quatre d'une famille aisée de Foshan, dans la province du Guangdong, Yip Man a eu la chance de recevoir une éducation traditionnelle très poussée. Ce qui a contribué à donner l'image d'un homme lettré et très instruit, malgré sa carrière plus portée vers les disciplines du combat.
Lui qui est né en 1893, a eu l'honneur de devenir le dernier disciple de l'expert en Wing Chun Chan Wah-Shun 陳華順. Les sources ne s'accordent pas quand à l'âge exact de Yip Man à l'époque, entre 7 et 13 ans.
Les cours de Chan, alors âgé de plus de 70 ans, étaient particulièrement chers. Le jour où le jeune Yip Man décida de les suivre, le vieux maître pensait qu'il avait volé l'argent à ses parents. Finalement, après confrontation avec ces derniers, il comprit que le garçon avait économisé dans le but d'apprendre les arts martiaux, et accepta de le prendre comme étudiant.
Ce fut cependant Ng Chung-Sok 吳仲素, le second disciple de maître Chan, qui assura l'essentiel de la formation initiale de Yip Man. A la mort de Chan Wah-Shun, Yip Man n'avait que 16 ans. Il partit à Hong Kong pour intègrer le Saint Stephen College de Hong Kong, établissement réservé aux enfants de familles aisées et étrangères de la ville.
Rencontre avec Leung Bik à Hong KongSur place, Yip Man allait rencontrer Leung Bik (Liang Bi梁璧), fils de Leung Jan (Liang Zan梁贊), l'homme qui fut le maître de son professeur Chan Wah-Shun. Jusqu'à ses 24 ans, il s'entraîna aux côtés de son nouveau mentor, et à l'époque de son retour à Foshan, ses capacités en Wing Chun avaient particulièrement augmenté...
De retour chez lui, Yip Man devint policier, et sans ouvrir officiellement d'école, prit comme élèves quelques collègues, amis et membres de sa famille
Pendant la Seconde Guerre mondiale et l'occupation japonaise, Yip Man quitta Foshan pour aller se réfugier au village Kwok Fu. Il voulait alors éviter d'enseigner aux Japonais, qui lui mettaient la pression pour étudier le Wing Chun.
Nouvel exil à Hong Kong après 1949Il retourna chez lui après la guerre, mais s'exila à Hong Kong dès 1949 suite à la victoire des Communistes pendant la guerre civile : étant policier et membre du Guomindang, il valait mieux pour lui fuir. Il laissa alors derrière lui ses possessions et sa famille.
Seul et sans ressources, il allait être contrait d'utiliser son art martial pour survivre : selon certaines sources, c'est cette nécessité économique qui explique sa rupture avec la tradition, à savoir proposer l'enseignement à toute personne voulant apprendre. Il ouvrit donc une première école à Hong Kong en 1950, au sein du syndicat des restaurateurs.
Son établissement allait ensuite être déplacé à plusieurs reprises, sa réputation grandissant... Si au début ses élèves ne venaient étudier que sur des périodes courtes, il en vint petit à petit à enseigner à des étudiants plus stables et donc au niveau plus élevé.
Le développement du Wing ChunCertains d'entre eux commencèrent à ouvrir leurs propres écoles, Yip Man ambitionnant de voir l'art se propager, et d'autres remportèrent même des défis permettant au style de se forger une réputation.
En 1967, avec des élèves, il fonda la Hong Kong Ving Tsun Athletic Association (香港詠春拳體育會), et chercha à préserver son art martial en enregistrant sur vidéo trois des cinq formes de bases. Face à la multiplication des interprétations du Wing Chun, il voulait immortaliser ce à quoi devait ressembler le système authentique.
Malheureusement pour lui, après sa mort le 2 décembre 1972, des suites d'un cancer de la gorge, nombre de ses élèves allaient se disputer sa légitimité et créer leurs propres mouvances...
Aujourd'hui encore, Yip Man reste la plus grande figure du Wing Chun moderne. Il est incontestablement celui qui a fait sortir cet art martial de l'anonymat, ne serait-ce qu'involontairement en formant le célèbre Bruce Lee (qui allait cependant par la suite créer son propre style, le Jeet Kune Do).
William Cheung
Le 22 novembre 1998, Sigung William Cheung fut introduit au Hall of Fame de Blitz en recevant le prix “ du dévouement pour le développement des arts martiaux ". Il est surnommé the masters'master (le maître des maîtres), et était considéré par Bruce Lee comme le “guerrier ultime”. William Cheuk Hing Cheung est l'unique héritier du système Wing Chun Kung Fu Traditionnel et a été la personne responsable de la venue de Bruce Lee dans le monde des arts martiaux.
A l'age de 10 ans, Cheung commença son apprentissage du Wing Chun Kung Fu sous la direction de Yip Man. De 1954 à 1958, il fut un élève à plein temps de Yip Man puisqu'il vécut chez son maître pendant tout ce temps là. Et c'est à cette période qu'il hérita entièrement du système Wing Chun Kung Fu Traditionnel.
Entre 1957 et 1958, Cheung gagna tous les tournois de kung fu de Hong Kong, battant des adversaires qui avaient beaucoup plus d'expérience que lui. En 1954, Il présenta Bruce Lee à Yip Man, et devint son entraîneur. Durant 4 ans et demi Cheung et Bruce Lee devinrent très proches et Cheung lui enseigna la plupart des techniques qu'il utilisera plus tard lors de compétitions et aussi dans ses films.
En 1959, après avoir terminé sa formation, Cheung partit pour l'Australie pour poursuivre ses études.
Il commença à enseigner professionnellement en 1973 à Melbourne et devint en 1976 le Président de la Fédération Australienne de Kung Fu.
De 1978 à 1980, Cheung fut engagé comme instructeur en chef pour la 7eme flotte navale américaine basée à Yukosuka, au Japon. Il était en charge de la préparation physique et mentale des marines dans les combats rapprochés à mains nues.
Depuis 1979, Cheung et certains de ses instructeurs conduisent des programmes spécifiques pour les forces de l'ordre et groupes d'intervention aux États Unis (navy seals, FBI, CIA, etc…) et dans d'autres pays.
En 1984, à l'université d'Harvard à Boston (USA), il établit le record du monde du nombre de coups de poings donné à la seconde: 8.3 coups de poings à la seconde.
Comme le disent les magazines spécialisés, il fait partie des dernières légendes vivantes des arts martiaux.
Cédric Azemat
Le début de sa pratique des arts martiaux remonte à 1994. Il débuta de façon assidue par un style de Kung Fu dit Shaolin. Après quelques années de pratique, il lui manquait quelque chose dans cette discipline et alla le trouver en s'entraînant avec des boxeurs et kickboxeurs.
Après quelques années il décida de partir en Australie afin d'apprendre le Wing Chun avec les plus grands spécialistes de la discipline, dans l'Academie de William Cheung à Melbourne.
Après une formation complète il ouvrit une école à Mazamet. Depuis, petit à petit l'école grandit et de nouvelles structures font leur apparition.
Son souhait est de transmettre le Wing Chun Kung Fu Traditionnel tel qu'on le lui a enseigné et non pas en rajoutant ou modifiant ceci ou cela.
En parallèle, il intervient en matière de gestion du stress et préparation mentale en entreprises, équipes sportives et dans des établissements scolaires.
Il tient à remercier tous les instructeurs qu'il a eu durant sa formation notamment: Sifu Julian Deboers, Sifu Keith Young et Sifu Yves Dantec. Et bien évidemment Sigung William Cheung pour lui avoir fait confiance et pour tous les enseignements qu'il lui a donné directement.
Sources:
http://www.wckft.com/index.html
L'origine du Wing Chun Kung Fu se situe pendant la période de répression de la dynastie Ching, il y a plus de 250 ans. A cette période, 90% de la population qui était des hans, était dirigée par une minorité, les mandchous. Ils instaurèrent des lois très injustes pour les hans, par exemple, dès le plus jeune âge, une fille han devait avoir les pieds bandés pour être totalement dépendante de sa famille ou de son mari lorsqu'elle serait adulte. Ils n'avaient pas le droit d'accéder à des postes gouvernementaux. Les mandchous créèrent de lours impôts destinés aux hans. ils n'avaient pas le droit de s'entraîner au Kung Fu, cependant le gouvernement mandchous adopta la culture han. Par ce fait, ils respectaient le Temple Shaolin comme sanctuaire bouddhiste.
Lorsque toutes les armes furent hors la loi, les hans commencèrent à s'entraîner secrètement dans le Temple Shaolin. Le Temple devint par conséquent un endroit secret où les gens s'entraînaient aux styles classiques de kung fu qui demandaient une vingtaine d'années avant de les maîtriser.
Pour développer une nouvelle forme, qui prendrait moins de temps à maîtriser, cinq grands maîtres se réunirent pour faire le point de leur art respectif. En choisissant les meilleures techniques de ces styles, ils développèrent un système qui pouvait être maîtrisé en 5 ans. Cependant, avant de pouvoir mettre en pratique ce nouveau système, le Temple fut pillé et incendié par les Mandchous.
Ng Mui, une none, fut la seule rescapée des 5 grands maîtres. Elle transmit son savoir à une jeune orpheline, Wing Chun. Ce nom signifie: "espoir pour le futur". Par la suite, Wing Chun transmit son art à son mari. Au fil des ans, ce style fut connu sous le nom de Wing Chun et fut transmis à des élèves soigneusement sélectionnés.
Yip Man
Le grand personnage du Wing Chun moderne
Si le Wing Chun est un art martial mondialement connu, on le doit en grande partie à lui. Célèbre pour avoir enseigné à Bruce Lee, avant que celui-ci ne devienne une star internationale, Yip Man est la grande référence du Wing Chun moderne.
Si certains détracteurs ont mis en cause sa légitimité, la plupart des pratiquants de nos jours aiment à se réclamer de son lignage. Car l'enseignement de Yip Man apparaît comme un gage de qualité, et son rôle dans l'histoire, défendre le Wing Chun et l'enseigner à tous, est perçu comme une noble quête qui a servi la cause de la culture chinoise.
Souvent présenté comme un héros national, voire un sage immaculé, Yip Man a néanmoins vécu une vie contrastée, entre période de prospérité et difficultés liées à son époque.
Disciple du maître Chan Wah-Shun3e enfant sur quatre d'une famille aisée de Foshan, dans la province du Guangdong, Yip Man a eu la chance de recevoir une éducation traditionnelle très poussée. Ce qui a contribué à donner l'image d'un homme lettré et très instruit, malgré sa carrière plus portée vers les disciplines du combat.
Lui qui est né en 1893, a eu l'honneur de devenir le dernier disciple de l'expert en Wing Chun Chan Wah-Shun 陳華順. Les sources ne s'accordent pas quand à l'âge exact de Yip Man à l'époque, entre 7 et 13 ans.
Les cours de Chan, alors âgé de plus de 70 ans, étaient particulièrement chers. Le jour où le jeune Yip Man décida de les suivre, le vieux maître pensait qu'il avait volé l'argent à ses parents. Finalement, après confrontation avec ces derniers, il comprit que le garçon avait économisé dans le but d'apprendre les arts martiaux, et accepta de le prendre comme étudiant.
Ce fut cependant Ng Chung-Sok 吳仲素, le second disciple de maître Chan, qui assura l'essentiel de la formation initiale de Yip Man. A la mort de Chan Wah-Shun, Yip Man n'avait que 16 ans. Il partit à Hong Kong pour intègrer le Saint Stephen College de Hong Kong, établissement réservé aux enfants de familles aisées et étrangères de la ville.
Rencontre avec Leung Bik à Hong KongSur place, Yip Man allait rencontrer Leung Bik (Liang Bi梁璧), fils de Leung Jan (Liang Zan梁贊), l'homme qui fut le maître de son professeur Chan Wah-Shun. Jusqu'à ses 24 ans, il s'entraîna aux côtés de son nouveau mentor, et à l'époque de son retour à Foshan, ses capacités en Wing Chun avaient particulièrement augmenté...
De retour chez lui, Yip Man devint policier, et sans ouvrir officiellement d'école, prit comme élèves quelques collègues, amis et membres de sa famille
Pendant la Seconde Guerre mondiale et l'occupation japonaise, Yip Man quitta Foshan pour aller se réfugier au village Kwok Fu. Il voulait alors éviter d'enseigner aux Japonais, qui lui mettaient la pression pour étudier le Wing Chun.
Nouvel exil à Hong Kong après 1949Il retourna chez lui après la guerre, mais s'exila à Hong Kong dès 1949 suite à la victoire des Communistes pendant la guerre civile : étant policier et membre du Guomindang, il valait mieux pour lui fuir. Il laissa alors derrière lui ses possessions et sa famille.
Seul et sans ressources, il allait être contrait d'utiliser son art martial pour survivre : selon certaines sources, c'est cette nécessité économique qui explique sa rupture avec la tradition, à savoir proposer l'enseignement à toute personne voulant apprendre. Il ouvrit donc une première école à Hong Kong en 1950, au sein du syndicat des restaurateurs.
Son établissement allait ensuite être déplacé à plusieurs reprises, sa réputation grandissant... Si au début ses élèves ne venaient étudier que sur des périodes courtes, il en vint petit à petit à enseigner à des étudiants plus stables et donc au niveau plus élevé.
Le développement du Wing ChunCertains d'entre eux commencèrent à ouvrir leurs propres écoles, Yip Man ambitionnant de voir l'art se propager, et d'autres remportèrent même des défis permettant au style de se forger une réputation.
En 1967, avec des élèves, il fonda la Hong Kong Ving Tsun Athletic Association (香港詠春拳體育會), et chercha à préserver son art martial en enregistrant sur vidéo trois des cinq formes de bases. Face à la multiplication des interprétations du Wing Chun, il voulait immortaliser ce à quoi devait ressembler le système authentique.
Malheureusement pour lui, après sa mort le 2 décembre 1972, des suites d'un cancer de la gorge, nombre de ses élèves allaient se disputer sa légitimité et créer leurs propres mouvances...
Aujourd'hui encore, Yip Man reste la plus grande figure du Wing Chun moderne. Il est incontestablement celui qui a fait sortir cet art martial de l'anonymat, ne serait-ce qu'involontairement en formant le célèbre Bruce Lee (qui allait cependant par la suite créer son propre style, le Jeet Kune Do).
William Cheung
Le 22 novembre 1998, Sigung William Cheung fut introduit au Hall of Fame de Blitz en recevant le prix “ du dévouement pour le développement des arts martiaux ". Il est surnommé the masters'master (le maître des maîtres), et était considéré par Bruce Lee comme le “guerrier ultime”. William Cheuk Hing Cheung est l'unique héritier du système Wing Chun Kung Fu Traditionnel et a été la personne responsable de la venue de Bruce Lee dans le monde des arts martiaux.
A l'age de 10 ans, Cheung commença son apprentissage du Wing Chun Kung Fu sous la direction de Yip Man. De 1954 à 1958, il fut un élève à plein temps de Yip Man puisqu'il vécut chez son maître pendant tout ce temps là. Et c'est à cette période qu'il hérita entièrement du système Wing Chun Kung Fu Traditionnel.
Entre 1957 et 1958, Cheung gagna tous les tournois de kung fu de Hong Kong, battant des adversaires qui avaient beaucoup plus d'expérience que lui. En 1954, Il présenta Bruce Lee à Yip Man, et devint son entraîneur. Durant 4 ans et demi Cheung et Bruce Lee devinrent très proches et Cheung lui enseigna la plupart des techniques qu'il utilisera plus tard lors de compétitions et aussi dans ses films.
En 1959, après avoir terminé sa formation, Cheung partit pour l'Australie pour poursuivre ses études.
Il commença à enseigner professionnellement en 1973 à Melbourne et devint en 1976 le Président de la Fédération Australienne de Kung Fu.
De 1978 à 1980, Cheung fut engagé comme instructeur en chef pour la 7eme flotte navale américaine basée à Yukosuka, au Japon. Il était en charge de la préparation physique et mentale des marines dans les combats rapprochés à mains nues.
Depuis 1979, Cheung et certains de ses instructeurs conduisent des programmes spécifiques pour les forces de l'ordre et groupes d'intervention aux États Unis (navy seals, FBI, CIA, etc…) et dans d'autres pays.
En 1984, à l'université d'Harvard à Boston (USA), il établit le record du monde du nombre de coups de poings donné à la seconde: 8.3 coups de poings à la seconde.
Comme le disent les magazines spécialisés, il fait partie des dernières légendes vivantes des arts martiaux.
Cédric Azemat
Le début de sa pratique des arts martiaux remonte à 1994. Il débuta de façon assidue par un style de Kung Fu dit Shaolin. Après quelques années de pratique, il lui manquait quelque chose dans cette discipline et alla le trouver en s'entraînant avec des boxeurs et kickboxeurs.
Après quelques années il décida de partir en Australie afin d'apprendre le Wing Chun avec les plus grands spécialistes de la discipline, dans l'Academie de William Cheung à Melbourne.
Après une formation complète il ouvrit une école à Mazamet. Depuis, petit à petit l'école grandit et de nouvelles structures font leur apparition.
Son souhait est de transmettre le Wing Chun Kung Fu Traditionnel tel qu'on le lui a enseigné et non pas en rajoutant ou modifiant ceci ou cela.
En parallèle, il intervient en matière de gestion du stress et préparation mentale en entreprises, équipes sportives et dans des établissements scolaires.
Il tient à remercier tous les instructeurs qu'il a eu durant sa formation notamment: Sifu Julian Deboers, Sifu Keith Young et Sifu Yves Dantec. Et bien évidemment Sigung William Cheung pour lui avoir fait confiance et pour tous les enseignements qu'il lui a donné directement.
Sources:
http://www.wckft.com/index.html
Re: Présentation
C'est très intéressant le WIng Chun notamment pour les femmes.
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